Je vois le feu
Je vois le feu
Ca se passe dans une tête. Les pensées sont disposées dans des chambres, qui s’ouvrent et se ferment. Des récits commencent, des visions et des scènes s’entrechoquent, se mélangent, jusqu’à la folie. Il y a l’obsession pour le visage du colonel Kurz dans Apocalypse now. Il y a une errance dans Berlin en hiver. Il y a une lézarde le long d’un mur qui aspire les esprits. Il y a des mâchoires, des nuits blanches, le couteau d’Abraham sur la nuque d’Isaac. Il y a une biche qui traverse l’automne, une femme qui s’évanouit et pousse deux cris.
Yannick Haenel
Programme
Musique improvisée
Yannick Haenel, texte
Effectif
Yannick Haenel, texte, récitant
Nicolas Crosse, contrebasse
Rémi Vignolo, batterie
novembre
Je vois le feu, lecture Musicale avec Yannick Haenel, Nicolas Crosse et Rémi Vignolo
décembre
Concert dans le cadre de la Biennale des Musiques Exploratoires
juin
Ca se passe dans une tête. Les pensées sont disposées dans des chambres, qui s’ouvrent et se ferment. Des récits commencent, des visions et des scènes s’entrechoquent, se mélangent, jusqu’à la folie. Il y a l’obsession pour le visage du colonel Kurz dans Apocalypse now. Il y a une errance dans Berlin en hiver. Il y a une lézarde le long d’un mur qui aspire les esprits. Il y a des mâchoires, des nuits blanches, le couteau d’Abraham sur la nuque d’Isaac.
avril
Ca se passe dans une tête. Les pensées sont disposées dans des chambres, qui s’ouvrent et se ferment. Des récits commencent, des visions et des scènes s’entrechoquent, se mélangent, jusqu’à la folie. Il y a l’obsession pour le visage du colonel Kurz dans Apocalypse now. Il y a une errance dans Berlin en hiver. Il y a une lézarde le long d’un mur qui aspire les esprits. Il y a des mâchoires, des nuits blanches, le couteau d’Abraham sur la nuque d’Isaac.
Ca se passe dans une tête. Les pensées sont disposées dans des chambres, qui s’ouvrent et se ferment. Des récits commencent, des visions et des scènes s’entrechoquent, se mélangent, jusqu’à la folie. Il y a l’obsession pour le visage du colonel Kurz dans Apocalypse now. Il y a une errance dans Berlin en hiver. Il y a une lézarde le long d’un mur qui aspire les esprits. Il y a des mâchoires, des nuits blanches, le couteau d’Abraham sur la nuque d’Isaac. Il y a une biche qui traverse l’au